Carte Postale Ancienne du Monument
A ma connaissance il existe une seule Carte Postale dédiée au Monument aux Morts de Génissieux, le cliché et l' editeur ont été réalisé par le photographe TALY de Romans. le dos de la carte mentionne la date d' envoi au 24 Décembre 1923 vers le département de la Cote d' Or.
l' on peut remarquer qu' a l' Epoque il était plus pret de l' église en effet il a été déplacé depuis, pour rappel il a été inauguré suite à une souscription demarrée en 1920 le Dimanche 19 Novembre 1922.
Article "La Lucarne" de Génissieux 09/2012
Août 1944 : 2 Héros Mort à Génissieux. (scan de l ' Article)
La commémoration du 68ème anniversaire de la libération de Romans vient de s’achever et essayons de trouver dans le passé des traces d’événements sur Génissieux. Romans fut libéré en deux temps : le 22 aout 1944 par les Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), mais la ville subit le retour des Forces Allemandes le 27 aout en cours de repli du Sud vers le Nord, trois jours terribles avant d’être définitivement libérée le 30 Aout 1944.
Frédéric BARACAND – Mort pour la France le 27 Aout 1944 :
Absent du Monument aux Morts de notre village, il figure par contre sur la Plaque Commémorative à l’ Hotel de Ville de Romans. Ce Dimanche 27 aout, il fut fusillé à bout portant par les allemands alors qu’il rentrait à son domicile de Romans (10 rue Félix Faure) venant de la Ferme qu’il exploite à Génissieux . Son acte de décès est dressé en notre commune et transcrit à Romans avec la Mention « Mort Pour la France – N° 86228 du 28 Décembre 1945».
Membre de la Résistance, il participa activement aux ravitaillements des FFI, selon Laurent Jacquot que je cite :
« A partir du dimanche 6 août, alors que les Allemands restent vigilants et menaçants, d'autres maquisards romanais et péageois, survivants du Vercors, arrivent dans les deux cités, amaigris et fourbus, après quinze jours passés dans les bois, à la recherche de nourriture et de l'eau, à la merci des patrouilles ennemies. Un jeune Romanais de 18 ans réussit à faire sortir du Vercors et à guider jusqu'à Romans un groupe d'hommes, la plupart d'origine alsacienne. Le groupe de Marcel Armand s'est retrouvé dans la ferme Baracand à Génissieux ; la section "Jacquelin" à Montmiral. Octave Taravello et ses 24 hommes récupèrent à la Sône un camion à gazogène qui les conduit, par Génissieux, jusqu'à la bourrellerie Taravello au quartier de la Vessette où des armes sont à nouveau cachées. »
Sur le recensement des Exploitations agricoles de 1942 effectué dans la drome, la ferme Baracand avait une surface de 33 Hectares et 44 Ares dont 30H labourables – 3H pour la vigne – 0H40 Non agricole – 4 ares de jardins potagers. Le nombre de personnes employées était de 2 et le nombre de membres de la famille travaillant sur l’exploitation de plus de 14 ans était de 6 personnes y compris Frédéric Baracand. Concernant le cheptel, l’ on recense en Automne 1942 : 2 chevaux – 1 vache laitière – 13 Ovins – 3 chèvres – 6 porcins et divers animaux de Basse-cour.
Victor DELESTRE – Mort pour la France le 29 Aout 1944 :
Présent sur notre Monuments aux Morts de la commune, Victor est aussi inscrit sur trois autres monuments :
• Plaque Commémorative à l’Hôtel de Ville de Romans avec une orthographe différente DELAISTRE.
• Plaque Commémorative à l’Eglise Saint Jacques de la ville de Le Tréport en Seine Maritime
• Monument aux Morts de la ville de Le Tréport situé au Cimetière, Route de Dieppe
Le Mardi 29 aout, Victor meurt au combat.
Mortellement blessé suite à un bombardement d’obus allemands près de la ferme BASSAL, il est transporté à la Mairie de Génissieux avec un groupe d’autres blessés comprenant son frère. Victor décède sans avoir repris connaissance une heure après sa venue. Le surlendemain dans le cimetière du village ont lieu ses funérailles très émouvantes et en toute simplicité dans un caveau temporaire puis dans un caveau définitif à Romans. Appartenant au 11ème Cuirassiers du commandant Thivollet, Victor avait participé aux combats du Vercors. L’acte de Décès a été dressé à Génissieux et transcrit à Romans en sa commune de domicile avec la mention « Mort Pour la France - N° 86230 du 28 Décembre 1945».
Habitant au Tréport, Victor est réfugié dans la Drôme : né à bordeaux le 24 juin 1916 et exerçant la profession de Verrier. Il est Incorporé au grade de Caporal au 3ème Régiment de Tirailleurs Algériens stationné à Souk Ahras dans la région de Constantine. Démobilisé le 9 Septembre 1940 il se réfugie à Romans chez Mr Clairefond quartier « La Gloriette » puis au 55 rue Parmentier pendant le reste de la guerre.
Marié depuis peu à Romans, issu d’une famille de conditions modestes de 10 enfants, Victor laisse une veuve sans grandes ressources et une petite Georgette, né à titre posthume le 4 Décembre 1944.
Le Conseil Municipal en Réunion en Aout 1945 sur proposition du maire Simon CHOPIN, décide de :
- Faire graver sur le Monument aux Morts le nom de « Victor DELESTRE »
- D’allouer une somme de 500 Francs sur un livret de Caisse d’ Epargne à sa Fille Georgette (ou il est précisé : disponible à son mariage ou à sa majorité).
Sources :
- Archives municipales de Romans / Archives municipales de Génissieux / Archives Departementales de la Drome
- Site Memoires des Hommes / Site Mémorial Genweb / Laurent Jacquot – SEHR et http://www.museedelaresistanceenligne.org
A Travers la presse, les livres ou autres archives qui sont parvenus jusqu'à nous, on trouve des bouts d’histoire, des morceaux de destins, des fragments de récit qui méritent d'être racontés. Ils sont autant de témoignages de l’histoire de Génissieux .
Retrouvez moi et participez sur :
http://actuagenissieux.canalblog.com et http://genissieux1914.canalblog.com/
Inauguration du monument Dimanche 19 Novembre 1922
Après avoir demarrer une liste de souscription au début de l' année 1920, le monument a été inauguré le Dimanche 19 Novembre 1922. A ma connaissance trois listes de souscripteurs ont paru dans le journal "l' Impartial" durant l' année 1920 pour récolter la somme de 6454,50 francs.
- 9H00 Messe
- 10H30 Reception des Officiels à la Mairie puis formation du Cortège
- 12H30 Banquet à la Salle des Ecoles (150 Convives) - Réservation avant le 16/11/1922 chez Beranger, Grattessol, Christophe ou le secrétaire du comité (prix 13 francs café compris)
- Article de l' IMPARTIAL du Jeudi 17 Novembre 1922
- Article de l' IMPARTIAL du Jeudi 23 Novembre 1922
- Article du BONHOMME JACQUEMART du Jeudi 30 Novembre 1922
Les Conscrits de la Classe 1923
Les conscrits de Génissieux et de Triors de la classe 1923 avec leurs clairons et leurs tambours : en partant de la gauche, le second au premier rang, Monsieur Grenier ; le troisième au second rang, Marcel Costet. (source: Memoire de la drome)
Liste des Mobilisés
- LISTE DES MOBILISES AU 23 DECEMBRE 1914
- MEMBRE DU CONSEIL MUNICIPAL MOBILISES AU 30 MAI 1915
- MEMBRE DU CONSEIL MUNICIPAL MOBILISES AU 27 NOVEMBRE 1918
Les membres du Conseil municipal en MAI 1912
DESCOMBES Célestin
BLAIN Valérien
Repas de Vétérans chez GRATTESSOL
Subvention auprès Mutilés de Guerre
Seance du Conseil Municipal du 23 Janvier 1930
Lors de cette Séance du conseil municipal , Mr PENELON Frédéric (Maire) fait la lecture de la lettre de Mr RAVEL , Président de la Fédération des Mutilés des Yeux de la "Grande guerre" demandant une Subvention pour la Création du Foyer destiné à recueillir et soigner les Aveugles, Bléssés et Malades des Yeux.
le Conseil vote une subvention de 25 Francs. La somme étant affectée au budget de 1929 des "Dépenses imprévues" (budget global de 1500 francs).
La « Maison des mutilés des yeux ».
L’association générale « Les Mutilés des yeux » fut formée le 4 avril 1923, lors d’une assemblée générale constitutive qui se tint à Paris, à la mairie du 1er arrondissement (Journal des mutilés et réformés, n° 324, Samedi 14 avril 1923, p. 3). Son premier bureau était ainsi constitué :
― Président fondateur : Docteur Jamart ;
― Vice-président : M. Balester ;
― Secrétaire général : M. Léo Joubert ;
― Trésorier : M. Ranlic.
Son siège social était alors établi à Paris, au 12, rue Pergolèse (XVIIe Arr.), qui, semble-t-il, était l’adresse personnelle de M. Léo Joubert.
Il est à peu près établi que la raison sociale de cette association est ultérieurement devenue « Fédération nationale des mutilés des yeux de France et des colonies », puis, pour les besoins de sa déclaration d’utilité publique, intervenue vers 1930, « Association nationale des mutilés des yeux de France et des colonies ».
En 1930, l’Association nationale des mutilés des yeux de France et des colonies, qui comptait alors plus de 10.000 membres, tint son assemblée générale annuelle à Paris, à la Maison des mutilés, les samedi 28 et dimanche 29 juin (Journal des mutilés et combattants, n° 701, Dimanche 6 juillet 1930, p. 3). Il y fut notamment procédé au renouvellement des membres du Conseil d’administration ; furent alors élus :
― Président honoraire : M. Ravel ;
― Vice-président honoraire : M. Drugeon, dit Jeaud ;
― Président général : M. Lobjois ;
― Vice-président : M. de Bizemont ;
― Vice-président : M. Hemmerdinger ;
― Secrétaire adjoint : M. Léo Joubert ;
― Trésorier général : M. Courcault ;
― Trésorier adjoint : M. Lepoivre ;
― Trésorier adjoint : M. Glaume ;
― Membres : MM. Simet, Alkan, Beryl, Brichet, Bouley, Fourlet, de Saint-Simon, Coinon, Gripay, Machard, Besançon, Machet, Virollé,Dubreule, Burtin, Olivier, Cauquil, Vial et Frizzonni.
Au début de l’année 1931, l’association ouvrit à Paris une « Maison des mutilés des yeux » dans un hôtel particulier sis au 29 de la rue Guillaume-Tell(XVIIe Arr.) (Journal des mutilés et combattants, n° 729, Dimanche 18 janvier 1931, p. 3). Elle comportait notamment un service médical, un service juridique, une bibliothèque et un dortoir permettant d'héberger les membres de province de passage à Paris.
● Le Figaro, n° 107, Dimanche 17 avril 1927, p. 4.
LES MUTILÉS DES YEUX
Il y a en France 50.000 mutilés des yeux. Sont ainsi désignés les anciens combattants ayant une infirmité oculaire résultant d’une blessure de guerre ou un accident en service commandé, maladies des suites de la guerre, à l’exclusion de toute autre catégorie.
Devant les injustices nombreuses et imperfections des lois, la Fédération nationale des mutilés des yeux de France et des colonies a été fondée en 1923 et compte actuellement 5.000 membres.
Elle a son siège social 12, rue Pergolèse et ses bureaux 1, rue de La-Réale.
Ce groupement est placé sous le haut patronage de M. Doumergue, président de la République, et son président est M. Ravel, blessé de guerre, chevalier de la Légion d’honneur, Croix de guerre. M. Ravel s’est toujours occupé de questions sociales et a été pendant de longues années président de l’Association des enfants de la Seine.
Son secrétaire général est M. Léo Joubert, fondateur de cette Fédération, qui s’est vite développée grâce à son initiative et à son dévouement inlassable.
Il eut l’idée, en 1925, de réaliser la " Maison des mutilés des yeux ", et cette Fédération, sous son impulsion, s’est mise à la tâche avec volonté absolue de réussir dans son entreprise et de réaliser son programme.
Ce foyer comprendra :
1° – Un service spécial de renseignements, qui sera chargé de faire toutes les démarches pouvant être utiles aux blessés des yeux ;
2° – Une salle de consultations gratuites, médicales, chirurgicales et juridiques ;
3° – Une salle de repos pour convalescents ;
4° – Un bureau de placement, pour eux et leur famille, ainsi qu’un vestiaire ;
5° – Une salle de jeux et de lecture, avec bibliothèque spéciale pour les camarades aveugles ;
6° – Une exposition des différents appareils de prothèse ;
7° – Cour, conférences, rééducation, représentations théâtrales, etc.
D’ores et déjà, des concours précieux sont acquis à cette Fédération. Le Journal vient d’offrir sa salle des fêtes et une série d’artistes, qu’il convient de désigner à l’attention de tous, ont offert leur gracieux concours : Mmes Suzanne Dalger, Jer-Men, Simone David, Marcelle Astier ; MM. Guys,Roger Bona, R. Mazars, G. Douking, Jacques Sylvier, Moraine. Ils donneront une série de représentations de Je n’aime plus, dont les recettes seront entièrement affectées à la " Maison des mutilés des yeux ".
Je n’aime plus est une comédie gaie, dont l’auteur, Jacques Larcher, est un mutilé des yeux. Ces manifestations auront lieu au Journal, les 19, 20, 21 et 24 avril. Ces soirées se renouvelleront dans les mairies de Paris et de banlieue gracieusement mises à la disposition de cette Fédération. On trouve les billets : théâtre du Journal, au Figaro, au Petit Parisien, à la Fédération des mutilés des yeux, chez Jenot, 10, rue Drouot.
Visible pour tous, petits et grands, tout en passant une bonne soirée agréable, remplir une bonne action. »
● Le Figaro, n° 71, Jeudi 12 mars 1931, p. 2, en rubrique « Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville – Bienfaisance ».
« ... c’est au profit de l’Association nationale des mutilés des yeux de France et des colonies (reconnue d’utilité publique, siège social : 29, rue Guillaume-Tell, à Paris) qu’est organisée, sous le haut patronage de M. Gaston Doumergue, président de la République française ; du généralMariaux, président d’honneur, et de M. Léo Joubert, fondateur, une vente de charité qui aura lieu dans les salons du Ministère de la Marine, 2, rue Royale, le samedi et le dimanche 15 mars, de neuf à dix-neuf heures. »
● Le Figaro, n° 88, Dimanche 29 mars 1931, p. 2, en rubrique « Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville ».
M. Doumergue a inauguré la Maison des Mutilés des yeux
M. Doumergue a inauguré officiellement, hier matin, la Maison des mutilés des yeux, 29, rue Guillaume-Tell.
Le président était accompagné de l’amiral Vedel, de sa maison militaire. Il a été reçu par M. Champetier de Ribes, ministre des Pensions, les représentants des autres ministères, ainsi que les attachés militaires des ambassades d’Italie et de Pologne, le représentant du cardinal archevêque de Paris, et des délégués d’associations d’anciens combattants.
Le bureau de la Fédération nationale des mutilés des yeux, présidée par M. Lobjois, en compagnie de MM. Léo Joubert, secrétaire général, fondateur, et Courcault, trésorier, a fait visiter la maison aux invités.
M. Doumergue apporta avec ses félicitations pour les efforts constants de l’association, ses souhaits personnels assurant aux mutilés des yeux " que son cœur les suivrait dans sa retraite." »
● Le Figaro, n° 114, Lundi 24 avril 1933, p. 2.
LA MAISON DES MUTILÉS DES YEUX
Le Président de la République a inauguré hier la salle de rééducation aménagée dans la Maison des mutilés des yeux.
M. Schnitzer, secrétaire du Conseil municipal, représentait la ville de Paris. M. de Fontenay, président du Conseil municipal, était présent.
Dans son discours, M. Léo Joubert, fondateur de l’œuvre, a rappelé que la Maison des mutilés des yeux fut inaugurée en 1931, par M. Doumergue. Il a salué, en M. Lebrun, non seulement " le grand citoyen élevé à la première magistrature de l’État, mais l’ancien compagnon d’armes, le chef à la valeur incontestée et incontestable, en un mot le soldat qui sut brillamment faire son devoir et donner à chacun l’exemple de la bravoure et de l’énergie."
M. Jean Machet, secrétaire général, a salué et remercié le Président de la République au nom des mutilés des yeux.
M. Lebrun a remercié et félicité les organisateurs en insistant sur la vie tragique de ceux qui ont perdu la vue.
M. Léo Joubert a ensuite remis les insignes de chevalier de la Légion d’honneur à deux grands mutilés : MM. Marescot du Tilleul et Bizemont, dont il a évoqué l’héroïsme et les souffrances. »
Subvention Monument de la Guerre
Seance du Conseil Municipal du 28 Novembre 1929
Lors de cette Séance du conseil municipal , Mr PENELON Frédéric (Maire) fait la lecture de lettres datées du 31 Aout 1929 des Présidents du Comité d' achévement des Quatre Grands Monuments du Front :
TOURNIER Felix Joseph
CARRA Auguste
PENELON Frédéric
Récompenses aux Femmes d' Agriculteurs mobilisés
En 1916, la Société des Agriculteurs de la Drome décide de récompenser les femmes les plus valeureuses ayant continuer la culture des terres. Chaque Comité local devant envoyer ses conclusions et ses recommandations avant le 01/07/1916 au secrétariat de la société : 16 Avenue Victor Hugo à Valence.
Concernant le Village de Génissieux, les Lauréates sont :
- Mme BEAU Marie
- Mme BODIN Lucie
- Mme CARRA Marie Louise
- Mme CHIZALET Marie
- Mme LAMBERT Marie
- Mme PENELON Madeleine
- Mme SYLVESTRE Marie
- Mme TOURNIER Marie
Une Cérémonie est organisé avec un banquet pour la remise des Diplomes le dimanche 19 Aout 1917 à 9 Heures , cependant la cérémonie sera reporté au Vendredi 16 Novembre 1817 à 10 Heures en la mairie de Romans dans la grande salle de l' Hotel de Ville sous la Présidence de Mr BOSSAT en qualité de Vice-président du comité Agricole. A l' origine la cérémonie du 19/08/1917 devait se derouler sur la Place des Cordeliers de romans.
Liste des Personnalités invitées pour la Cérémonie ou l' on peut noter que la commune de Génissieux n' est pas représentée, en sachant que Victor VEILLEUX adjoint faisait fonction de Maire (Avril 1916 à Décembre 1917).
Menu et facture du Banquet qui a suivi à l' Hotel de l' Europe de Romans :
Equipe Agricole chez Mme BLACHE
Ci dessous une carte postale du 12/03/1918 et postée le 13/03/1918 à Génissieux du soldat AVENAS du 110 Régiment Infanterie Territoriale basé à Romans écrivant à son ami MAUNIER Marius , boulanger à Auriol dans les Bouches du Rhone et nous expliquant qu' il est en EQUIPE AGRICOLE chez MME BLACHE de GENISSIEUX.
BOUVEYRON Fernand
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : Soldat 1re Classe - 150e R.I.
Complément : classe 1915
Matricule, recrutement : 1415 - Bourgoin
Département ou pays : 26 - Drôme
Commune de naissance : Génissieux
Département ou pays : 08 - Ardennes
Commune du décès : Chatillon Sur Bar
Lieu, complément : LE CHESNE 1er novembre : Le 150e reste d'abord en réserve à l'ouest de l'Aisne, soumis à des tirs d'interdiction qui lui causent quelques pertes. Le soir, le 1er bataillon passe la rivière, prêt à appuyer le 161e.
Extrait du 150 RI - Journaux des marches et opérations des corps de troupe (01/11/1918 / page 50/52)
Département ou pays : 38 - Isère
Commune de transcription : Saint Bonnet de Chavagne
Commune inhumation :
Lieu inhumation :
Carré, rang, n° de tombe :
LAUBOS Emile
Conflit : 1914-1918 - Cultivateur
Complément : classe 1906
Matricule, recrutement : 142 - Romans
Département ou pays : 26 - Drôme
Commune de naissance : Génissieux
Département ou pays : 54 - Meurthe-et-Moselle
Commune du décès : Mont-sur-Meurthe
Lieu, complément : Combat de LAMATH et de XERMAMENIL (Début de Marche à 3H30 du matin)
Extrait du 275 RI - Journaux des marches et opérations des corps de troupe (26/08/1914 / page 10/13)
Département ou pays : 26 - Drôme
Commune de transcription : Triors
Commune inhumation : Vitrimont
Lieu inhumation : Nécropole nationale Friscati
Carré, rang, n° de tombe : Tombe 694
Don des Habitants de Génissieux
En 1914, les habitants de Génissieux ont réalisé une collecte de 750 Francs afin de reverser la somme à la Caisse Municipale de la ville de Romans. Ce secours aux Victimes de la Guerre servant aux dépenses des soupes populaires, bons de lait, acquisition de matériels et d' instruments de chirurgie pour les Hopitaux. (source : Archives municipales de romans)